A Agde, Rue de la République – 35 lits, ce lieu d’accueil fonctionne pendant toute la durée de la guerre. Au Collège de Garçons, 13 rue de la République – 85 lits – Fonctionne du 11 août 1914 au 21 octobre 1917. Il a  reçu 1560 malades et blessés hospitalisés – 4 décès. La Caserne Mirabel – 350 lits – Fonctionne du 1er novembre 1914 au 15 mai 1915.

A Ardouane, au  Collège libre – 60 lits, à partir du 12 juillet 1915

A Belarus, à l’Hôpital pour indigents – 170 lits – Fonctionne du 24 septembre 1914 au 4 mai 1919

A Bédarieux, à l’Hôpital de la Providence, quartier de la Plaine – 24 lits – Fonctionne pendant toute la durée de la guerre. A l’Hospice Saint-Louis, avenue de Lodève – 55 lits – Il fonctionne du 15 septembre 1914 au 19 décembre 1918 –

A Béziers, au  Collège Henri IV, rue du Collège – 467 lits. Il fonctionne du 15 août 1914 au 29 décembre 1918 – Chirurgie catégorie C – ORL – Ophtalmologie –

Au Pavillon du Sacré-Cœur, 6 rue de la Faïence – 105 lits – Fonctionne du 1er septembre 1914 au 19 décembre 1918 –  au  Collège de Jeunes Filles, rue du Collège – 130 lits – Fonctionne du 28 septembre 1914 au 13 février 1915 –

A l’Hôtel du Commerce, 1 allées Paul Riquet – 100 lits – Fonctionne du 24 février 1915 au 4 octobre 1916.  A l’Hôpital Mixte   Route de Pézenas -160 lits – Fonctionne pendant toute la durée de la guerre. Au Patronage du Sacré Cœur, boulevard du Nord – 60 lits – SSBM (15 août 1914 Béziers). A la Maison Illaire, rue Alfred de Musset – 100 lits (8 octobre 1914). A l’Asile de vieillards, chez les Petites Sœurs des Pauvres, rue du Général Margueritte – 76 lits – Fonctionne du 21 août 1914 au 1er janvier 1917. On établit une annexe, à l’Ancien couvent des Franciscains, 3 boulevard Duguesclin – 110 lits – Elle fonctionne du 15 septembre 1914 au 1er octobre 1915 – Béziers – Nouvel Hôpital, rue Diderot prolongée – 240 lits – Fonctionne du 20 mai 1917 au 30 avril 1919 – Ecole de la Trinité – 6 avenue de Belfort – 301 lits – Fonctionne du 24 août 1914 au 10 décembre 1914 date à laquelle elle est transformé  en HDC n° 38 puis en Centre Spécial de Réforme – Elle ferme le 1er janvier 1918   – Le 1er janvier 1917, elle  se voit adjoindre l’ancien couvent des franciscaines. Au Pensionnat de l’Immaculée Conception, boulevard de Genève – 27 lits, (7 janvier 1915. Au Collège de Jeunes Filles, rue du Collège de Filles – 310 lits – Fonctionne primitivement du 14 février 1915  au 17 août 1915 dans un pavillon de l’HC n° 29 (Collège Henri IV) – Dans le gymnase de ce pavillon sont installés des appareils de mécanothérapie- La rééducation prenant de plus en plus d’importance en nombre et les locaux de l’HC n° 29 se révélant insuffisants, l’HC n° 50 (collège) est transformé en Hôpital de kinésithérapie de Béziers. Au Couvent des Franciscains, 3 boulevard Duguesclin – 125 lits – à partir  du 1er octobre 1915 jusqu’au au 1er janvier 1917 – Ancienne annexe de l’HC n° 36 de Béziers. A la Clinique privée, Fonseranes – 65 lits à compter du 28 septembre 1914) A l’Ecole Sévigné, rue Mirabeau on installe 34 lits le 8 août 1914

A Clermont-L’hérault L’Hôpital-Hospice, boulevard de l’Hôpital – 125 lits – (31 août –   a fonctionné comme HB classé dans les Hospices Civils du 6 octobre 1914 au 31 août 1915)

A Florensac une maison particulière de 25 lits, (2 janvier 1915) –

A Frontignan,  une maison bourgeoise, rue du Portail Vieux – 20 lits – UFF (2 juin 1915)

A Ganges, route nationale, 30 lits (14 septembre 1914) –

A Gigean les écoles  primaire et maternelle, rue des Ecoles reçoivent  30 lits, (14 décembre 1914)-

A Lamalou, station thermale connue, nombreux sont les lieux où l’on reçoit des blesses ou des malades :  à Hôtel du Nord, avenue Charcot – 40 lits – (26 novembre 1914), au Nouvel Hôtel, avenue Charcot – 35 lits, (12 janvier 1915), à  l’ Hôtel des Bains, avenue de l’Usclade – 100 lits, (5 octobre 1914)-  à la Maison de Santé, rue Dr Privat – 20 lits (5 octobre 1914 – à l’Hôtel Mas, avenue Charcot – 50 lits – (5 octobre 1914)  à la Villa de Fontenay, avenue Trousseau – 20 lits – Fonctionne du 5 octobre 1914 au 2 janvier 1919. A l’Hôtel du Centre, avenue de la République – 55 lits – (19 décembre 1914 ?) – Hôtel des Thermes, avenue du Parc – 20 lits, ouvert le 19 décembre 1914, à la  Villa des Palmiers, avenue du Parc – 30 lits (12 janvier 1915), à l’Hôtel Belleville, avenue Charcot – 30 lits – 12 janvier 191, à  l’ Hôtel Moderne, avenue du Parc – 10 lits – (12 janvier 1915 au ?), à la  Villa Coupiac, avenue Charcot – 40 lits – (12 janvier 1915 –  à l’Hôtel des Bains – 100 lits –

A Lodève, c’est l’Usine Faulquier, avenue de Soubis ouverte le 26 août 1915)

L’Annexe se trouve à l’Hôtel Teisserenc, 2 places Alsace-Lorraine, (25 août 1915) Usine-Hôtel 120 lits ? Au  Collège de Garçons, boulevard du Collège on pace 130 lits – (21 août 1914. A la  Caserne du Parc, place du Parc. Ce lieu  fonctionne du 13 août 1914 au 29 décembre 1915 –

A Lunel ce sont les écoles ; l’Ecole de Filles, 6 boulevard Victor Hugo – 75 lits – (5 août 1914), l’Ecole de Garçons, 9 boulevard Victor Hugo – 70 lits (5 août 1914 –

mais aussi l’Hôtel Brignac, 14 cours Valatours – 100 lits (25 juillet 1914)

A Mauguio on utilise l’Asile de Vieillards, avenue de Montpellier – 20 lits, (18 octobre 1915–

Mèze offre son ancien couvent, place Villebois-Mareuil – 60 lits – UFF (13 juin 1915) Il a fonctionné comme annexe de l’HA n° 105 du 13 septembre 1914 au 13 juin 1915, date à laquelle elle est devenue l’HA n° 110.

A Montpellier, nombreux sont établissements scolaires et de santé.  Notre-Dame-de-la- Merci, rue Emile Zola – 120 lits, le Sacré Cœur, 24 rue Saint-Vincent-de-Paul – 450 lits ; (19 août 1914). Le Lycée de Garçons, 39 boulevard de l’Esplanade – 374 lits Il fonctionne à partir du 6 août 1914. Ecole Normale d’Institutrices, 17 rue des Sourds-Muets – 170 lits ( 11août 1914)   Assomption Sainte-Marie, rue Gerhardt – 123 lits, (1er février 1915 Ancien Collège Catholique, 13 rue Rondelet – 600 lits, (22août 1914 ) Petit Séminaire – 615 lits-  Institution des Sourds-Muets, 16 rue Saint-Vincent-de-Paul – 60 lits – Il fonctionne (17août 1914-  Petit Lycée, 12 rue Lakanal – 255 lits – SSBM Il fonctionne à partir du 10 août 1914- Ecole Normale d’Instituteurs, 1 rue de l’Ecole Normale – 148 lits – Il fonctionne à partir du 5 août 1914 Etablissement « La Pierre Rouge », orphelinat catholique – 220 lits – Fonctionne du (5 août 1914 au ?)  Institut Mutualiste Pavillon populaire, Jardin de l’Esplanade – 67 lits Il fonctionne à partir d’octobre 1914-  Cercle des Officiers, Jardin de l’Esplanade – 48 lits.  Il fonctionne à partir du 2 octobre 1914-  Cercle de la Loge, 3 passage Bruyas, 40 lits. Il fonctionne à partir du 13 octobre 1914-

Hôtel de Forton, 16 rue Jacques Cœur – 31 lits,  à partir du 14 décembre 1914-

Etablissement d’aliénés, Font d’Aurelles, route de Ganges – 160 lits, à partir du 26 avril 1915 Pensionnat de Jeunes Filles des Sœurs de Nevers, 10 rue Moquin Tandon, 35 lits, fonctionne (7 septembre 1914

Couvent de Religieuses, 18 rue de la Garenne – 60 lits – (10 août 1914) –

Lycée de Jeunes Filles, 31 avenue de Toulouse – 410 lits – (6 août 1914) – Orphelinat privé Nazareth, ancien chemin de Castelnau – 20 lits, (5 aoû1914 au ?) – Manufacture « La Charité », ancien chemin de Castelnau, du 1er septembre 1914 au 15 décembre 1915.  Les Violettes, route de Lodève – UFF – Fonctionne du 11 août 1914 au 1er décembre 1915. Maison particulière Lugand-Clémentville, avenue de Lodève – 40 lits -(25 février 1915) Ecole Nationale d’Agriculture, avenue de l’Ecole – 105 lits – UFF – Fonctionne du (11 août 1914 au ?) – Clinique Mutualiste, 22 bis avenue de Toulouse – 20 lits – UFF – Fonctionne du septembre 1914-

A Marseillan, l’Hospice civil – 55 lits – Fonctionne à partir du 15 février 1915 –

A Olargues, c’est l’Hôtel de la Gare, avenue de la Gare – 25 lits – UFF, (14 avril 1915)

A Olonzac, l’ancienne école libre de filles, boulevard Louis Blanc – 52 places – Fonctionne du (21 novembre 1914 au ?) –

A Palavas, le Grand Hôtel Saint-Michel, 11 boulevard de la gare – 125 lits, à partir du 19 septembre 1914 –

A Portiragnes, la  Maison de Corrals – 25 lits – (10 décembre 1914)

A Saint-Chinian, l’Hospice civil – 21 lits fonctionne le 10 décembre 1914

A Servian Ecole de filles – 50 lits, (10 décembre 1914 au ?) –

A Sète, le Lazaret devient l’hôpital pour les militaires tuberculeux en raison de la qualité supposée de son air. Entre août et septembre 1914, 1000 prisonniers arrivent dans la ville qui se dote e 6 puis 8 hôpitaux temporaires. Ecole Victor Hugo, place Victor Hugo – 130 lits – SSBM – (11 août 1914)-  Institution Sainte -Marie, rue Rouget de l’Isle – 20 lits. (25 septembre 1914 au ?) – Collège Municipal de Garçons, rue de l’Hôtel de Ville – 350 lits (2 août 1914) –Etablissement Balnéaire, corniche route d’Agde, lazaret protestant – 145 lits, (2 août 1914)-  Etablissement Balnéaire, corniche, lazaret catholique – 316 lits – (2 août 1914) Ecole des Frères Saint-Joseph, 11 avenue de Château d’eau – 102 lits -2 août 1914) –  –  Dispensaire pour indigents, rue Villefranche – 48 lits – (11 octobre 1914-  Petites Sœurs des Pauvres, 1 rue Danton – 27 lits -(6 septembre 1914  Patronage Jeanne d’Arc – 35 lits – (19 novembre 1914)- ?) –

A Poussan – Ecole libre – 46 lits – Fonctionne du (10 octobre 1914 au ?) – ?) –

A Saint-Pons – Ecoles primaire et supérieure, 1 rue Planel – 130 lits – Fonctionne du22 septembre

A Valras : Hôtel Biterrois, la Plage – 80 lits (14 septembre 1914) ; Annexes: de l’Epoque, la Plage – 50 lits ; Fourestier, la Plage – 20 lits ; Saint-Roch, la Plage –